Interview de Philippe GARSUAULT, administrateur de la fondation Belem, représentant BPCE

Quel est le rôle de BPCE au sein de la fondation Belem ?

En tant que Nantais, je voudrais d’abord vous exprimer ma très grande fierté de participer à cette belle aventure que constitue le Belem, une des gloires de ma ville d’origine. Lors des Jeux Olympiques de Londres, j’avais personnellement pu constater l’énorme attraction qu’exerçait ce magnifique navire, amarré au cœur de la capitale britannique en soutien à tous les sportifs français. En tant qu’administrateur, j’ai maintenant à cœur de faire tout mon possible pour que ce monument historique et toutes les valeurs qu’il incarne soient accessibles au plus grand nombre.

Pour BPCE, qui est l’organe central du groupe issu du rapprochement des réseaux Caisse d’Epargne et Banque Populaire, l’implication dans la vie de la fondation est parfaitement naturelle.

En effet, l’un des ancêtres de BPCE n’est autre que l’Union Nationale des Caisses d’Epargne qui décida, en 1979, de racheter aux chantiers de Venise le trois-mâts Belem. Cet acte de mécénat fondateur a permis au trois-mâts de sortir de l’oubli, de retrouver son pavillon de naissance et de naviguer à nouveau. Au sein de la fondation Belem, BPCE, que je représente, assume cet héritage et participe activement à la gouvernance de ce très beau projet.

 

Que représente ce mécénat pour les Caisses d’Epargne ?

Si le Belem continue à naviguer aujourd’hui, il le doit essentiellement à la fidélité du mécénat des Caisses d’Epargne qui contribuent chaque année à près de la moitié du financement de la fondation Belem. Si l’on tient compte du cumul des montants sur trente ans, il s’agit d’un des plus grands mécénats en France. Les Caisses d’Epargne sont très fières de cet engagement fort et unique en France en faveur d’un joyau de notre patrimoine maritime.

Contactez-nous